…Celui de Dieu comme l’écrit David au Psaume 65, verset 10.
La France avec ses 10 000 fleuves et rivières semblait bien pourvue et « à l’abri ».
Mais voilà que nous voyons le niveau de nos fleuves baisser au point que les bancs de sables apparaissent plus que l’eau, certains canaux de navigation fermer, et l’eau inexistante par endroit, avec des lits complètement asséchés…
Alors, ce ruisseau de Dieu plein d’eau, il nous parle !
Comment, pour l’homme de l’Orient qui est David, mieux décrire la richesse, la générosité, l’abondance et finalement la vie (« l’eau, c’est la vie : ») de Dieu qu’en empruntant cette image d’un ruisseau ?
Cette grâce n’est pas d’hier, ni d’un avenir espéré ; elle n’est pas soumise aux aléas, impondérables, circonstances …elle est de jour comme de nuit, d’hiver comme d’été
Nul besoin d’espérer une saison de pluie ; d’échafauder des retenues d’eau…
Elle était, elle est, elle sera.
Poursuivons l’image : la terre est fertilisée, détrempée par les pluies ; les sillons du cultivateur sont arrosés, le germe est béni (versets 10 et 11)
Les plaines même du désert sont abreuvées et les collines sont ceintes d’allégresse (v13).
Le ruisseau de Dieu est plein d’eau !
Pascal Collet