Telle est la traduction Darby du texte de Sophonie 3/17 qui dit dans nos versions classiques : « …Il fera de toi sa plus grande joie… » ce qui est déjà beau et grand n’est-ce pas ?
Darby donc donne : « …Il se réjouira avec joie à ton sujet… »
Peut-on se réjouir avec tristesse ???
Nous avons là l’indication d’une très grande joie divine (« …il aura pour toi des transports d’allégresse. ») dont la source est Son peuple.
Pas le peuple du début du chapitre, marqué par la souillure, l’oppression, la non communion avec Dieu. Cet état ne réjouit personne et ne nécessite qu’une chose : la repentance (2/1)
Mais le peuple purifié et qui a retrouvé son Dieu Sauveur.
La joie de Dieu dans et par son peuple…
N’est-ce pas Sa joie à Lui qui occasionne la nôtre : chap. 3 verset 14 ?
Notre joie est alors sans « fausse note », juste.
Pensons à ne pas l’attrister : Il est si aimant !
Car Sa joie est celle de l’amour : c’est parce qu’Il aime qu’Il est si joyeux.
Que le Seigneur se réjouisse encore avec joie !
Pascal Collet