Pour « retrait et gonflement des argiles », phénomènes concernant environ 40% des maisons individuelles franciliennes.
Les sols sur lesquelles sont construites ces maisons sont argileux : en cas de fortes pluies, leur volume augmente ; en cas de sécheresse, il diminue.
D’où, failles, fissures, crevasses… provoquant au minimum un grand désarroi des résidents, pire parfois…
Ici, point d’ouragans, de torrents venant détruire la maison (Mat 7/27).
Tout est calme et silence…
…mais le mal est là !
Au fil du temps et des aléas.
Il me revient l’exhortation adressée par Paul : « …Que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit sur le fondement. » (1 Cor 3/10).
A la lumière des faits d’actualité, quelle attention ne devrions-nous pas déployer pour bien bâtir notre vie !
Et d’abord quel fondement ?
Jésus-Christ (verset 11)
Son œuvre, Son enseignement, Sa personne.
Y-a-t-il quelque chose de plus solide ? Et donc de plus sûr ?
Ensuite notre façon de bâtir : tous les matériaux ne se valent pas ; toutes les manières de faire non plus. « Le jour » révèlera tout ça (v12-13), mais avant ce jour, une vie bien bâtie résistera à tous les dangers et affrontera toutes les situations.
Pascal Collet