C’est la fin du verset 16 du chapitre 8 du livre du Deutéronome. Il décrit l’intention de Dieu à l’égard de son peuple.
L’amour peut être défini comme la volonté et la joie de faire du bien à l’être aimé.
Du bien réel, durable s’entend !
Donner des sucreries à son enfant « parce qu’on l’aime », c’est en réalité ne pas l’aimer vraiment : il en adviendra surement des problèmes de santé, plus tard.
Dieu ne nous donnera donc pas des « sucreries »…
Ses voies peuvent nous paraitre incompréhensibles par moment ; mais savons-nous mieux que lui ?
Aimons-nous mieux que lui ?
Pourquoi mener le peuple délivré dans le désert, cet affreux désert, ces lieux arides et sans eau (Deut. 8/15) ?
L’être humain proteste : « Dieu est…., Dieu n’est pas… »
Or la Bible dit : « Dieu est amour (1 Jean 4/8 ; 16).
Elle dit aussi que cet amour fut prouvé, de la plus indiscutables des façons (Rom 5/8).
Restons donc dans cette confiance.
Le bien que Dieu fait, et qu’il fait quelquefois « ensuite », est d’une qualité certaine.
Il a joie à sauver l’être humain de son péché, joie à l’éduquer, joie à le diriger, joie à lui apprendre des leçons rares (obéir, espérer…) et au final, le but atteint, la chose apparaitra, splendide : Dieu m’a fait du bien.
Pascal Collet