Plus…plus…plus…

Ce mot est souvent alléchant n’est-ce pas ?

Même si le rêve qu’il évoque se transforme en cauchemar, car l’être humain peut être séduit.

En l’occurrence, ici, nulle séduction, mais un constat fait par le psalmiste.

J’insiste : un constat, pas un espoir, un but à atteindre. La réalité l’a amené à ce constat.

Quel est-il ?

Il faut le lire dans la 13ème strophe du Psaume 119, soit les versets 97 à 104.

…Plus sage que ses ennemis

…Plus instruit que mes maîtres

…Plus d’intelligence que les vieillards

Le psalmiste, tel que nous le percevons dans ses écrits, est suffisamment humble pour ne pas se rengorger ou exagérer : la chose est ainsi !

Quel avantage n’est-ce pas ?

Et donc quelle parole, que la Parole de Dieu ! Car c’est elle qui produit ces « plus » !

Précieux trésor !

Valeur inestimable et non quantifiable mais réelle, jusque y compris dans l’existence quotidienne. Ces « plus » s’y réfèrent ; nous sommes avec le psalmiste dans le concret.

Par exemple, il a des ennemis.

Comment faire avec eux ? Comment agir ?

La source de la Parole de Dieu lui donne une sagesse supérieure à la leur.

La laisserons nous fermée ?

La négligerons-nous ?

Que plutôt, assidument, nous la fréquentions et qu’elle nous façonne et nous enrichisse.

Pascal Collet