Un photographe suisse, René Robert, âgé de 85 ans est mort le 20 janvier dernier dans la nuit, sur un trottoir très passant situé entre la place de la République et les Halles à Paris.
Après une chute, « simplement », personne ne l’a relevé.
Quant à l’existence, considérée du point de vue divin, il faudrait d’abord « éviter la chute »!
Quel témoignage saisissant que le suivant:
« Oui, tu as délivré mon âme de la mort, mes yeux des larmes, mes pieds de la chute »
Psaume116/8
Cet homme est conscient que Dieu l’a délivré, triplement qui plus est!
Sans Lui, la chute était certaine… mais Il est intervenu.
Jésus, le Dieu des délivrances est-il en notre vie ?
La question est centrale aussi en rapport avec le fait de chuter. L’Écriture dit:
« Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraitre devant sa gloire irréprochable et dans l’allégresse… »
Jude 24
Il le peut ! Il peut le faire !
Rien de magique, bien sur, mais les moyens variés de sa grâce en nous : son salut d’abord, ce grand relèvement initial ; ce cœur nouveau recréé par la vérité pour la sainteté, son esprit qu’Il envoie en ses disciples, son enseignement avec ses alertes, ses commandements, ses promesses…
…de telle sorte que, dans notre faiblesse inhérente, Il nous donne pourtant ce dont nous avons besoin.
Les occasions de chute existent : elles n’ont plus rien de contraignant pour le disciple de Jésus ; il ne leur doit plus rien. Une action loyale et pertinente du cœur instruit par la Parole de Dieu peut y remédier: Matthieu 5/29-30
« Il a affermi mes pas. »
Psaume 40/9
« Mes pas sont fermes dans tes sentiers, mes pieds ne chancellent pas. »
Psaume 17/5
La suite lundi prochain…
Pascal Collet