Jeudi soir, un détenu de la prison de Nanterre est mort. A 19h05, après l’intervention du médecin, des pompiers, du SAMU, il est déclaré mort, après que son cœur se soit arrêté pendant 30 minutes
Stupeur : pendant les constatations et procédures d’usage de la police, le mort « revient à la vie », direction l’hôpital et le service de réanimation où il est dans un état préoccupant.
Incroyable résurrection…
Mais beaucoup moins toutefois que celle de Jésus.
C’est bien un cadavre supplicié qui fut descendu de la croix. Mais au matin du 3ème jour (pas 35 minutes plus tard !), Dieu le ressuscita.
En parfaite santé, si je puis le dire ainsi avec toutes ses facultés physiques, psychiques, mentales, sans autre atteinte que celle des marques des clous, en pleine conscience et sans restriction aucune, pour ne pas dire avec un corps « augmenté » car glorifié, même encore sur la terre.
Et pour ne plus jamais mourir, ce qui ne sera pas le cas du « miraculé » ci-dessus.
« J’ai été mort ; et voici, Je suis vivant aux siècles des siècles. »
(Ap 1/18)
Des perdus sont sauvés ; des malades guéris ; des disciples remplis du Saint Esprit ;
l’église de Jésus est née et subsiste ;
et toute cette puissance de vie est comme la réplique en nous de celle déployée en Christ dans sa résurrection (Ep 1/19-20).
« Je suis le premier et le dernier, et le vivant ! »
Pascal Collet