Ne cherchez pas ce mot dans le dictionnaire, il ne s’y trouve pas.
Il décrit les sentiments de beaucoup après les jeux olympiques.
C’était à prévoir : à la fête, l’euphorie, l’excitation succèderait un temps de tristesse.
Et aussi grands ont pu être les accents de gaieté, aussi sombre peut être « l’après » !
La joie de l’impie existe mais elle est momentanée (Job 20/5).
Si elle a pour source quelque chose qui ne fait que passer, elle cessera forcément.
Or, tant de choses ici-bas ne font que passer…
L’être humain semble donc condamné à ne connaître que des instants de joie, à grand renfort de feux d’artifices, sons et lumières, victoires diverses mais toujours aléatoires, exubérance créée…
A moins que…
Notons bien ces étonnantes paroles de Jésus à ses disciples : « …je vous reverrai et votre cœur se réjouira et nul ne vous ravira votre joie. » (Jean 16/22)
Une joie qui ne peut être ravie !
C’est donc une joie permanente !
La suite du récit biblique (livre des Actes notamment) nous montrera l’accomplissement de cette parole y compris jusqu’au sein de la persécution : les disciples ne connaitront aucune « jostalgie », car malgré les afflictions, la joie de l’esprit de Dieu sera leur partage.
Que Jésus soit le centre, la source, la raison de notre joie !
Pascal Collet