Un sociologue décrit ainsi l’évolution de la société occidentale.
Suggestif, n’est-ce pas ? Et peu flatteur…
Ressemblerions nous à celui qui ne rôtit pas son gibier (Prov 12/27) ? Qui plonge la main dans le plat mais ne la ramène pas à sa bouche (19/24) ? Qui ne laboure pas quand il fait froid (20/4) ? Qui évoque un danger imaginaire pour ne rien faire (22/13) ?
Quel courage, quel cœur chez Jésus !
- Il en faut pour quitter la quiétude parfaite, l’harmonie unique, la gloire du ciel, afin de paraitre sur la terre…
- Il en faut pour se laisser conduire au désert afin d’y affronter le tentateur…
- Il en faut pour aller de villes en villages, travaillant inlassablement au salut des perdus…
- Il en faut pour affronter tous les dangers, toutes les oppositions et toutes les incompréhensions…
- Il en faut pour prendre la résolution de se rendre à Jérusalem : à cette occasion, il endurcit sa face (litt. : Luc 9/51).
- Il en faut pour accepter encore la volonté du Père à Gethsémané…
- Il en faut pour être réellement l’agneau qu’on mène à la boucherie (Es 53/7)…
Haut les cœurs !
Pascal Collet