…En Novembre 1989 à Berlin.
Les premiers coups sont portés au fameux mur, devant une foule composée aussi d’étrangers venus ici expressément pour voir « en direct » un grand moment de l’histoire…
Devant les éboulis du mur, Rostropovitch joue en solo du violoncelle ; l’instant est unique.
Un grand historien annonce la fin de l’histoire, la liberté avait gagné, l’économie allait lier les nations entre elles, la mondialisation assurerait le bonheur ; on avait 100 ans de paix devant nous.
Et ? Qu’est-il advenu ?
L’existence de beaucoup ressemble à cette parole d’Esaïe le prophète :
« Comme celui qui a faim rêve qu’il mange puis s’éveille l’estomac vide, et comme celui qui a soif rêve qu’il boit puis s’éveille épuisé et languissant… »
(Esaïe 29/8)
De rêves en réveils décevants et même douloureux.
Or il nous faut la réalité.
C’est là qu’intervient la puissance de Dieu par et dans l’évangile (Rom 1/16).
Qui dit puissance comprend : efficacité, résultat, fruits précieux, réalité.
Pourquoi l’évangile est-il efficace ?
Car il a pour objet le Christ et qu’il traduit sur terre le dessein de salut de Dieu.
…Sur terre c’est-à-dire dans certains cœurs, certaines vies.
Lesquels ? Ceux qui l’acceptent par la foi et dans la repentance.
« C’est fait ! » Ces mots vont bien dans la bouche de celui qui les prononce : Jésus (Ap 21/6)
Pascal Collet