« Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? »
(Rom 8/31)
Non qu’il n’y aurait plus personne contre ses enfants : ce serait plutôt le contraire selon l’expérience !
Mais quelque soit celui qui serait contre nous, si Dieu est pour nous, tout est bien pour nous.
L’inverse est vrai, Dieu interroge :
« Ton cœur sera-t-il ferme, tes mains auront-elles de la force dans les jours où j’agirais contre toi ? »
(Ezéchiel 22/14)
Qu’Il agisse « contre »… nous devrions être saisis de vertige. Car si tel est le cas, qu’aurions-nous à faire valoir ?
Aucune science, aucune vaillance, aucun courage, aucun effort, aucune technique ne suffirait dans cette séquence qui verrait Dieu agir « contre ».
L’immense statue d’une splendeur extraordinaire que Nébucadnetsar vît en songe représente bien des empires humains, avec toute leur gloire. (Daniel 2)
Pourtant une pierre, une simple pierre frappe cette statue et la met en pièces.
Toute construction humaine se trouve balayée car Dieu s’est en quelque sorte levé pour agir « contre ».
« Qu’ils bâtissent, je renverserai ! »
(Malachie 1/4)
Par nature ennemis de Dieu par nos pensées et nos œuvres, voici qu’en Jésus se présente l’appel à la réconciliation, pour que cette dernière se transforme en communion. Notre réponse est faite de repentance envers Dieu et de foi en Jésus-Christ.
Alors, Dieu devient « pour » nous.
Précieuse communion !
Pascal Collet