Ici, on bénit les cartables car c’est la rentrée ( une pratique en développement), là, des chiens, des outils; ailleurs, des motos, des bateaux, et encore ailleurs, » on bénit tout » selon l’expression d’un ecclésiastique
« ça peut me porter chance… »
« Tout est bon à prendre… » pensent et disent ceux qui se livrent à ces pratiques.
Ainsi vont trop de nos contemporains, sans connaissance, sans ancrage, sans certitude, s’accrochant à ce qui se présente à eux, venant de la tradition religieuse, de la superstition ou de toute opportunité.
Que Dieu nous fasse du bien!
C’est donc un soupir de beaucoup.
Mais comment?
L’évangile prêché par les apôtres pose un fondement sûr: Pierre annonce que Dieu a suscité son serviteur Jésus et l’a envoyé pour nous bénir, en détournant chacun de nous de ses iniquités (Actes 3/26).
Là, nous sommes sur le solide terrain de la révélation: la bénédiction de Dieu est accomplie en Jésus, et elle consiste avant tout à être détourné de nos iniquités.
Donc :
- Quand j’accepte ce message, je « deviens béni ».
- Quand je reconnais mes iniquités dans la repentance, je « deviens béni ».
- Quand je fais confiance au Christ et notamment à son œuvre à la croix, je « deviens béni ».
Et si je suis ainsi béni, plus besoin de présenter mon cartable, mes outils, ma voiture ou quoi que ce soit: en Christ, je suis béni!