C’est ce qu’entendent les voyageurs à la sortie des bouches de métro.
Les vendeurs à la sauvette propose leurs cigarettes, des fausses Marlboro.
Les gens fument plus qu’avant : leur façon de lutter contre le stress.
Cet homme pour vivre son addiction ne mange plus que du riz ou des pâtes tous les jours et de la viande une seule fois par semaine.
Il faut l’écouter : « On croit que c’est un réconfort même si c’est faux. »
Donc il cherche du réconfort en sachant qu’il n’en trouvera aucun !
Quel désarroi ! Quelle impuissance !
Pourquoi ne pas croire que la paix recherchée est en Jésus (Jean 16/33) ?
Je l’entends se présenter comme le Dieu qui sauve et je comprends que son action est conforme à son identité :
« Je suis le pain de vie. » (Jean 6/48)
Et nous sommes nourris sainement.
« Je suis la porte. » (Jean 10/9 )
Et voici l’issue sûre.
« Je suis le bon berger. » (Jean 10/11)
Et nous voilà rassurés, gardés, apaisés.
« Je suis la lumière du monde. » (Jean 8/12)
Et nous voyons clair, enfin.
« Je suis la résurrection et la vie. » (Jean 11/25)
Et nous quittons la mort spirituelle pour vivre.
« Je suis le vrai cep. » (Jean 15/5)
Et voilà des fruits inattendus dans notre existence.
Quel réconfort, quel vrai réconfort !
Laissez donc tomber les Marlboro (et tout le reste) et connaissez Jésus, le Dieu véritable.
Pascal Collet