« Quand j’écoute Beethoven, je me dis que c’est la certitude que Dieu existe. » dit une actrice.
Frappé par la surdité à 27 ans, voilà qu’il compose ses plus grandes œuvres à partir du moment où il n’entend plus ! Quel mystère !
De lui, on a écrit : « Ce sourd entendait l’infini… »
Mais il y a plus que le « mystère » de la musique de Beethoven : « Jésus est l’image du Dieu invisible » (Col 1/12), c’est-à-dire sa manifestation réelle ; et encore : le reflet de sa gloire, l’empreinte et la représentation de la personne de Dieu (Héb 1/3).
On pense à l’énoncé de ce simple nom : Jésus, tout savoir et on le laisse de côté. Quelle erreur !
Donnez-vous l’occasion de le suivre vraiment dans les évangiles : ces récits historiques vous le présenteront et poindra alors cette conclusion : Il est unique.
Donnez-vous la peine de l’entendre parler : ce ne sont pas les notes d’œuvres symphoniques que vous écouterez mais des paroles qui, si elles sont simples, sont aussi inouïes.
Elles touchent à notre identité vraie, à notre avenir, à ce que Dieu fait, à pourquoi Il fait ou pourquoi Il ne fait pas.
Et ces paroles ont pour vocation de devenir agissantes dans la vie de celui les reçoit.
On peut passer d’agréables moments à écouter la sonate au clair de lune de Beethoven ou l’une de ses symphonies… mais découvrir Jésus comme le « Dieu/homme » qui transforme nos vies vaut plus !
Pascal Collet