Jusqu’à peu, ce nom n’évoquait rien pour moi; cette personne m’était totalement inconnue.
C’était une chanteuse tchèque morte le 16 janvier dernier à 57 ans alors qu’elle avait décidé de se contaminer volontairement au Covid pour pouvoir obtenir son pass sanitaire! Nous avons bien lu: elle a voulu être contaminée, a réussi à l’être mais elle en est morte.
Se contaminer volontairement devient une pratique répandue, parmi les adultes et les enfants. Pour ces derniers, l’objectif est de rater une semaine de cours, ou de gagner 2 mois de tranquillité, sans test à passer. Pour d’autres, il s’agit d’éviter le vaccin, ou d’être malade » au bon moment » par exemple pour éviter d’avoir à annuler des vacances!
Alors, c’est un jeu, ou c’est un péril?
Avez-vous connu cette « vieille histoire » de l’arbre de la connaissance du bien et du mal? Et de son fruit défendu?
Certains en sourient, mais que s’est-il passé? L’être humain a pris à Dieu la capacité à définir et déclarer ce qui est bien, ou mal.
Redoutable responsabilité!
L’erreur fût manifeste très tôt: à l’élévation promise par le diable succéda l’abaissement, la chute; à la libération du « carcan » divin , l’esclavage de soi-même, de ses convoitises.
Le bien et le mal sont définis par chacun , non plus en fonction de la sagesse de Dieu, mais en fonction des sentiments humains: ce que je ressens bien est bien, ce que je ressens mal est mal. C’est grosso modo l’approche contemporaine.
Que de naufrages! Laisser le gouvernail de notre existence à nos sensations est peut-être sympathique, mais n’offre aucune sécurité.
Pourquoi ne pas en revenir à la définition que Dieu peut donner, et aux solutions qu’il donne avec!
Savoir ce qui est bien, ou mal, de façon certaine, et recevoir par Jésus la grâce d’éloigner le mal et de pratiquer le bien.
Savoir ce qui est jeu, ou danger!
« Tes oreilles entendront derrière toi la voix qui dira : Voici le chemin, marchez-y ! Car vous iriez à droite, ou vous iriez à gauche. »
EsaÏe 30/21
Pascal Collet