C’est la magnitude du séisme qui a frappé la Birmanie le 28 mars.
La terre a tremblé une fois de plus.
Certaines constructions n’ont pas résisté y compris les temples birmans.
J’ai devant les yeux la photo d’un de ces temples a priori magnifique avant, effondré.
Nous savons ou pouvons savoir les mécanismes de ces tremblements de terre si redoutables.
Mais que penser du fait que Dieu Lui-même a annoncé qu’Il ébranlera la terre et le ciel ? (Héb 12/26-27) ?
Si c’est Dieu qui ébranle…
Oui, des villes, des nations s’écrouleront (Ap 16/19), et d’autres phénomènes physiques difficilement explicables mais qu’on pressent redoutables accompagneront cela.
« Tu les fais tomber et ils s’écroulent » (Ps 73/18) est un constat limpide : si Dieu ébranle, l’écroulement suit…
Sauf exception… et cette exception nous concerne : le but de « l’ébranlement divin » est que les choses inébranlables subsistent.
Le royaume est inébranlable (Héb 12/28), preuve est faite depuis longtemps !
« Soyez fermes, inébranlables… » (1 Cor 15/58), à propos d’humains pourtant si fragiles !
Oui, mais après la mention de la victoire de Jésus-Christ, y compris sur le dernier ennemi : la mort !
Et puis, à cette exhortation correspond la promesse : « Le Dieu de toute grâce… vous rendra inébranlables. » (1 Pi 5/10)
Pascal Collet