Archives par mois :janvier2025

hi archyive

Non pas pour piquer et blesser (Ez 28/24) mais pour étouffer.

Étouffer quoi ?

La semence, qui représente le Parole de Dieu (Matt 13/7).

Elle a pourtant un grand pouvoir qui est celui de la vie : un grain en donne cent, un autre soixante, un autre trente (Matt 13/23).

Mais cette concurrence tourne en défaveur de la semence : il n’y aura aucun fruit.

Soucis du siècle, séduction des richesses, plaisirs de la vie, invasion des convoitises (Marc et Luc) : voilà ce que représente les épines dans cette parabole.

Un pasteur qui voyageait pour exercer le ministère, s’est vu remettre en cadeau par son église : une caméra pour filmer les endroits et salles de réunions où il irait. Après courte réflexion, il refusa le cadeau ; il avait crainte d’être diverti par la capture d’images au détriment de la prédication de la Parole de Dieu.

Un jeune disciple entendant une prédication sur ces épines fut saisi dans son cœur et s’humilia promptement : il venait de réaliser qu’il nourrissait cette concurrence.

En effet, il s’était intéressé quelques temps auparavant au jeu d’échec.

Rien de mal à y jouer n’est-ce pas ?

Sauf qu’une recherche de combinaison en inspirant une autre… le temps passé à ce jeu dans ses soirées augmentait au détriment de la méditation de la Parole de Dieu…

Seigneur, nous voulons voir les 30, 60 et 100 grains dans nos vies !

Nous enlèverons donc les épines, et la semence portera son fruit.

Pascal Collet

C’est une vie meilleure que plusieurs étaient venus chercher en s’installant à Los Angeles…

Certains y ont tout perdu.

Des cendres… voilà ce qu’il reste de leur rêve, brisé.

Nous ne les jugeons pas car nous savons bien que l’être humain se trompe facilement.

Rêver au meilleur et vivre le pire…

Le fils cadet de la parabole de Luc 15 n’est pas le seul dans son cas…

L’attente exprimée dans l’épître aux Hébreux (6/9) de « choses meilleures » est-elle à ranger elle aussi dans la catégorie des rêves brisés ?

Si Jésus n’était pas supérieur aux anges (et à tout) (1/4)

Si Il n’était pas vivant pour sauver parfaitement (7/28)

Si Il n’avait pas été élevé à la perfection (5/9)

Si Il n’avait pas fait la purification des péchés (1/3)A

Si Il n’était pas chef et consommateur de la foi (12/2)

Si Il n’était le médiateur de la nouvelle alliance (12/24)

… probablement oui.

Mais Il est tout cela et bien plus encore !

D’où :    Une meilleure espérance (7/19)

              Une meilleure patrie (11/16)

              De meilleurs promesses (8/6)

             Des biens meilleurs (10/34)

Pascal Collet

Malibu, Santa Monica, Pacific Palisades, Hollywood, Sunset Boulevard…

Ces lieux mythiques sont devenus en quelques heures la proie des flammes, attisés par un vent violent.

Les plus grandes stars d’Hollywood n’ont pas été épargnées.

« …vos villes sont consumées par le feu… »

(Es 1/7)

Effectivement, il ne reste pas grand-chose de ces endroits ; c’est une dévastation terrible.

Au-delà des raisons factuelles non évoquées pour Esaïe, ce fait prenait place dans un temps de grave maladie morale : c’était le temps des révoltes, la tête entière était malade et tout le cœur souffrant (v 5&6).

Ce feu qui ne dit jamais « assez » (Prov 30/16) peut évoquer quoi ?

  • La personne sainte de Dieu : Ez 8/2
  • Le verdict ultime sur nos vies : 1 Cor 3/13
  • La rapidité d’un secours divin : Es 64/1
  • La flamme intérieure du disciple : Jér 20/9
  • Le sort final de la terre : 2 Pi 3/7

Louons Dieu pour la venue de Jésus.

Travaillons avec les matériaux qui résistent au feu.

Espérons toujours dans le miracle divin.

Entretenons la Pentecôte dans nos cœurs.

Assurons nous d’avoir une patrie céleste !

Pascal Collet

Chacun a sa petite idée là-dessus n’est-ce pas ?

Quelqu’un a dit : « Dans une prison, certains pensent que la liberté consiste à devenir geôlier. »

Passer donc de l’autre côté des barreaux …

Ce qui n’a pas empêché le geôlier de Philippes de penser à mettre fin à ses jours…

On peut donc être du bon côté de la porte (de prison) et être acculé, oppressé dans ses pensées, au point de voir le suicide comme l’ultime recours…

Mais vint l’évangile et tout changea, pour lui et les siens (Act 16/24-34).

Regardez les contemporains de Jérémie (2/20) ;

Comparent-ils le gouvernement de Dieu à un joug dont il faut se défaire ? Beaucoup pensent ainsi !

Mais les voilà dans des lieux de cultes idolâtres, courbés comme une prostituée…

C’est ça être libre ?

Regardez encore quelques contemporains de Jésus : Jean 8/33.

Jamais esclaves de personne, vraiment ? Et l’occupation romaine d’alors ?

Et cette forme d’esclavage, de soi-même, de sa nature inchangée qui les amène à jeter des pierres contre celui qui pouvait seul les sauver (v59).

« Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres »

(Jean 8/36)

Pascal Collet