Archives par mois :octobre2024

hi archyive

Alors qu’arrive la date du changement d’heure, il est rappelé que l’obscurité accroit le danger sur la route.

La pénombre est un facteur favorable aux accidents.

D’où la nécessité d’adopter un équipement lumineux, notamment pour le cycliste.

La lumière protège… c’est aussi vrai au plan spirituel.

Regardons les efforts divins pour nous sortir de l’obscurité :

  • Jésus, lumière et vie vient et éclaire tout homme (Jean 8/13)
  • Avant lui et après lui, l’enseignement divin nous est donné comme une lumière (Prov 6/23)
  • Le Seigneur ne se contente pas d’éclairer « de loin », mais jusque dans les cœurs (2 Cor 4/6)
  • Ce faisant, bien des choses cachées sont manifestées : à nous de l’accepter, de le vouloir (Ep 5/13-14)
  • Cette lumière est une lumière de condamnation… pour faire grâce, et nous tirer des ténèbres qui cachent (Ps 90/8 ; 1 Jean 1/7)

Allons-nous encore préférer la nuit au jour ?

Que de périls alors !

L’obscurité est dangereuse ! La pénombre et le clair-obscur aussi !

Bien plutôt : «… Sois éclairée, car la lumière arrive… » (Es 60/1)

Pascal Collet

Cette époque dont on annonce la fin est celle du télétravail.

Elle ne remonte donc pas très loin dans l’histoire puisque ce sont les années Covid qui ont établi cette pratique, qu’on nous a alors présenté comme une transformation majeure du monde du travail, laissant augurer un avenir plus souriant que le passé. Vantée, cette pratique l’a été…

C’était seulement il y a quelques courtes années…

Et voilà déjà « la fin d’une époque ! »

Avant, une époque représentait quelques dizaines d’années, voir un siècle.

Maintenant, cela représente quelques années proches.

Le temps raccourcirait-il ? ou s’accélérait-il ? Non, bien entendu.

Mais alors, les « choses » de l’existence passent de plus en plus vite ?

Les certitudes ne sont que d’avant-hier et les voilà déjà démodées.

Les nouvelles pratiques, meilleures, forcément, connaissent un succès foudroyant et une mort prématurée.

Certes cette condition n’est pas entièrement nouvelle : « …Toute chair est comme l’herbe et tout son éclat comme la fleur des champs. L’herbe sèche, la fleur tombe… » (Es 40/6-7)

Tant de choses paraissent, puis passent rapidement aujourd’hui…

Sommes-nous condamnés à ne vivre que dans l’éphémère ?

« Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront » a dit Jésus (Mat 24/35).

Et comme la Parole de Dieu demeure éternellement (1 Pi 1/25), celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement aussi. (1 Jean 2/17)

Que passent les modes…

Pascal Collet

« Ce n’est pas à des anges que Dieu a soumis le monde à venir dont nous parlons. »

(Héb 2/5)

Il y eut « l’ancien monde » dont la Bible nous dit comment il prit fin et pour quelles raisons (2 Pi 2/5). Quelles leçons !

Il y a le monde (« siècle ») présent avec sa sagesse, ses principes, ses valeurs, ses richesses (1 Tim 6/17). Visible donc attirant ! mais pourtant qualifié de « mauvais » (Gal 1/4) et duquel le « vieil évangile » nous arrache.

Il y aura donc le monde à venir, reflet fidèle en toutes choses de la sainteté, justice, vérité, sagesse de Dieu.

Ce sera une réalité entièrement nouvelle, preuve que Dieu a le mot de la fin.

C’est l’espérance vivante

Le salut prêt à être révélé

L’héritage réservé

La gloire à venir

Le règne et la présence de Jésus.

Qu’il soit l’objet de notre attente : Il vient.

« Si on me donnait le choix, je resterais tout de même aveugle… car lorsque je ressusciterai, le premier visage que je contemplerai sera celui de mon bien-aimé Sauveur. »


Fanny Crosby (aveugle)

« Un jour, je serais au ciel, et Jésus me donnera de nouvelles jambes. Et quand j’aurai mes nouvelles jambes, la première chose que je ferai sera de me mettre à genoux pour l’adorer. »


Joni Eareckson Tada (tétraplégique)

Le monde à venir…

Pascal Collet

Lorsqu’il s’agit d’espérer en l’être humain et en nous-même, notre espérance est toujours relative, incertaine.

On prête à ceux dont on espère recevoir (Luc 6/34) ;

L’agriculteur travaille et espère la récolte (1 Cor 9/10) ; mais celle-ci peut être, comme en cet été 2024, bien maigre !

Ni le travail de l’agriculteur, ni son sérieux, ni son courage, ni sa science ne sont en cause : il a trop plu !

C’est l’espérance humaine.

Reconnaissons que de cette espérance-là, nous avons souvent eu l’occasion de dire : « Nous espérions… » (Jér 8/15).

Mais quand l’objet de votre espérance ne se porte pas sur l’humain mais sur Dieu, alors espérance signifie certitude, ferme assurance.

Sur ce fondement divin, on peut même « espérer contre toutes espérance » (Rom 4/18) sans pourtant mépriser le bon sens : Dieu est Dieu, Il est vrai et véridique, fidèle, puissant.

Y-a-t-il quelque chose de plus raisonnable que de faire reposer notre espérance sur Lui ? (1 Pi 1/21)

Heureux ceux dont l’espérance est ferme ! (1Thes 1/3)

Ils verront ce qu’ils ne voient pas aujourd’hui !

Pascal Collet