Il est normal que chacun tienne à l’essence de sa culture, de ses idées, des réformes qui lui semblent nécessaires, mais faut-il mêler à notre comportement l’intolérance, l’opposition touchant au fanatisme contre des options qui ne sont pas les nôtres, pratiquer une chirurgie radicale de toutes les pensées différentes de nos conceptions ?
Pendant des siècles, Israël et les descendants d’Ismaël ont vécu côte à côte ; leurs échoppes étaient mitoyennes, comme leurs maisons dans les villes et les villages. Ils se rendaient mutuellement service. Aujourd’hui, c’est la séparation constatée également dans nombre de sociétés. Tout cela en si peu de décennies, et sur le plan mondial.
Que ce soit en matière de religions, de politiques ou de modes de vie, ceux qui n’acceptent pas nos propositions doivent-ils être combattus avec violence ?
Mondial, mondialisation, voici les mots dominants sans lesquels le monde ne pourra plus vivre. Alors, il faut extirper tout ce qui ne rentre pas dans le moule de demain : monnaie mondiale, politique mondiale, gouvernement mondial. Cela se profile à vitesse grand V.
Ne serait-ce pas un des signes marquant la fin des temps ?
Analysant ce qui se trame dans nos diverses sociétés par rapport aux enseignements bibliques, les chrétiens entrevoient la manifestation de leur espérance : le retour de leur Sauveur et Seigneur Jésus-Christ.
Dieu œuvre toujours en faveur du rétablissement de toute chose. En opposition à la trinité qu’Il représente, une autre trinité ressent l’approche de sa chute : Satan l’anti-Dieu ; contre Jésus l’Agneau divin, la bête mentionnée dans l’Apocalypse ; et contre le Saint-Esprit, l’anti-Esprit qui domine actuellement ici-bas et conduit les hommes vers les injustices, les dérèglements et les guerres.
L’universalisme politique, religieux et commercial est en préparation, marqué par l’accélération du temps.
Alors que le Seigneur nous attire vers le ciel, cette opposition veut nous conduire vers un humanisme apparemment rassurant mais combien illusoire.
Ouvrir les yeux, analyser l’évolution de la situation actuelle et prendre la position la meilleure est devenu impératif pour chacun des hommes de notre planète ; question de vie véritable.
Voici les toutes dernières paroles du livre de l’Apocalypse :
« Viens Seigneur Jésus !
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ».
Laurent Van de Putte